Programmation Neuro-Linguistique

La Programmation Neuro-Linguistique s’intéresse à la façon dont les humains fonctionnent dans un environnement donné et ce, en fonction de leurs schémas comportementaux. A travers un ensemble de techniques et de méthodes, la PNL aide à changer la façon dont un individu perçoit son environnement. En effet, chaque individu possède une carte du monde qui lui est propre, et qui est modulée par ses croyances et ses conditionnements. Le but de la PNL est de comprendre que cette carte est différente chez tout le monde, afin de permettre à l’individu d’atteindre ses objectifs plus facilement. La PNL apporte donc les outils nécessaires afin d’opérer des changements personnels et structurels, et ce, afin de créer de nouveaux potentiels de réussite dans tous les domaines de la vie.

Autrement dit, cela nous amène à voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide. Il n’y a pas d’échecs, il n’y a que des expériences qui nous enseignent et nous permettent d’évoluer.

La PNL est régie par certaines croyances inhabituelles, qui s’appellent les présupposés. En voici quelques-unes :

« Tout comportement est sous-tendu par une intention positive ». En effet, tout ce qu’on fait depuis toujours a une intention positive. C’est très rassurant de se dire que si on a une comportement gênant aujourd’hui, c’est qu’un jour ce comportement a été nécessaire. Ça déculpabilise !

« Nous ne sommes pas nos comportements » Faites attention à vos mots. Je ne suis pas bête, j’ai fait une bêtise ! C’est très différent. Notre cerveau a besoin d’entendre la formulation correcte, sinon il risque d’assimiler en effet qu’il est réellement bête.

« Il est possible de reproduire les performances des autres ». Oui, et ça s’appelle la modélisation. Quand vous admirez un comportement ou un savoir-faire chez quelqu’un vous l’observez et reproduisez ce qu’il fait jusqu’à y arriver vous-même. C’est d’ailleurs ce que font merveilleusement bien les bébés !

« L’échec n’existe pas, il n’y a que du feedback ». Ou comme disait Nelson Mandela, « soit je réussis, soit j’apprends ». Revenons à notre bébé. S’il avait dû baisser les bras à chaque fois qu’il est tombé en apprenant à marcher, on n’aurait que des personnes en chaises roulantes autour de nous !